Un gitan, un seul, au comptoir
Comme peint au noir acide
Par qui frappe et qui décide
Son chapeau, lassé des victoires
Aux grandes ailes détrempées
Emprunte aux flots, aux mers exquises
Des lampées d’eau salée, la vue
D’une nageoire qu’on excise
Les rues, éteintes, où ramper.
